| Dernières réponses | |  L'ordinateur est très fourni et son ronron, pendant qu'il s'installe, me berce d'une fallacieuse quiétude .
Je me mets à fouiller dedans à la recherche de ces maudites photos, si absorbée par ma tâche que plus rien je n'entends .
Ca me donne si chaud que j'ouvre ma blouse de haut en bas, sous laquelle je n'ai qu'une culotte de satin rose brodée de dragons dorés . |
| | Rentrant tranquillement du marché en ce jour où j'ai pris mon RTT, je m’appète à rentrer chez moi.
J'ai bien fermé toutes les fenêtre de ce petit pavillon d'une banlieue tranquille... Toutes non... J'ai laissé une fenêtre accrochée à l'espagnolette et sans serrer la poignée. A quoi bon le quartier est tranquile ?
La suite va me donner tord... |
| | Ca fait quatre mois que Marc me soumet tous les soirs par msn et j'en ai assez : je dois l'attendre quotidiennement jusqu'à 23 heures devant mon ordi , m'y faire humilier jusqu'à sa jouissance , puis rester encore là tout le temps qu'il lui plait en étant obligée de regarder sa queue jusquà ce qu'il en ait assez que je lui fasse la conversation !
Tout ça parce qu'il a trouvé je ne sais où des photos de moi soumises ... je me suis dit que si je parvenais à les effacer de son ordi, je pourrais me débarraser de son emprise humiliante ! J'ai donc décidé de m'introduire chez lui pendant la journée, quand il est au boulot, et de fouiller son disque dur pour y trouver ces photos compromettantes et les éraser .
Je me suis donc déguisée en femme de ménage pour aller dans sa ville de résidence . Je gare ma Cadillac à quleques rues de chez lui _ une "technicienne de surface" en Cadillanc, ça le ferait pas ! _ et je me dirige vers son domicile . Je suis en blouse blanche, sabots blancs et fichu sur la tête, avec à la main un seau en plastic.
Arrivée devant son immeuble je fais le tour et passe par les jardins , derrière ; comme je m'en doutais vu la chaleur il a laissé une fenêtre ntr'ouverte . Je mets les sabots dans le seau et , pieds-nus , traverse la pelouse . Parvenue à la fenêtre je l'ouvre et sans me cacher enjambe : je suis dans son salon !
Je reconnais les meubles et le fauteuil que j'ai si souvent vus en webcam . J'allume l'ordi, m'assois et étend mes jambes et écratant les orteils : l'heure de ma libération enfin a sonnée !
Edité le 11-06-2011 à 23:33:54 par Pute niaq de Marc
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